Camargue, mythique terre sauvage dans le sud du Gard


Camargue. Chevaux Première parution, le 10/11/2010
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La partie Gardoise de la Camargue, terre sauvage, s’allonge au pied du rebord de la Costière, dessinant le côté nord-ouest de l’immense delta du Rhône.

Depuis près de vingt-cinq années, le territoire et ses habitants se sont investis dans une exigeante démarche de préservation et de valorisation de ses paysages : l’Opération Grand Site de France.

Ces efforts n’ont pas été vains, puisqu’ils ont été reconnus par le Ministère de l’Environnement qui a attribué le label « Grand Site de France » à la Camargue gardoise en janvier 2014.

  •  LE LABEL GRAND SITE DE FRANCE : un label inscrit dans la loi et attribué par l’Etat Ce label appartient à l’État, qui l’a déposé à l’Institut national de la propriété industrielle en 2003. Il est géré par le Ministère en charge de l’Écologie. Il est inscrit au code de l’environnement Art. L 341-15-1 depuis la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement : « Le label Grand Site de France peut être attribué par le ministre chargé des sites à un site classé de grande notoriété et de forte fréquentation. L’attribution du label est subordonnée à la mise en œuvre d’un projet de préservation, de gestion et de mise en valeur du site, répondant aux principes du développement durable. Le périmètre du territoire concerné par le label peut comprendre d’autres communes que celles incluant le site classé, dès lors qu’elles participent au projet. Ce label est attribué, à sa demande, à une collectivité territoriale, un établissement public, un syndicat mixte ou un organisme de gestion regroupant notamment les collectivités territoriales concernées. La décision d’attribution fixe la durée du label. » Ce label est un label sélectif et exigeant. Il est attribué pour une durée de 6 ans, après avis de la Commission supérieure des sites, perspectives et paysages, et du Réseau des Grands Sites de France. Il est la reconnaissance d’une gestion conforme aux principes du développement durable, conciliant préservation du paysage et de « l’esprit des lieux », qualité de l’accueil du public, participation des habitants et des partenaires à la vie du Grand Site. Il peut être retiré à tout moment en cas de manquement aux engagements de protection, de mise en valeur, de développement économique local et de respect du visiteur. Le Réseau des Grands Sites de France rassemble des Grands Sites qui ont déjà obtenu le label et d’autres qui œuvrent pour l’obtenir un jour.

Le Grand Site, d’une superficie de près de 40 000h, a la particularité de porter sur quatre sites classés : les marais de la Tour Carbonnière, l’étang de la Ville et de ses abords, le site classé du panorama découvert depuis la route littorale RD 62 sur les Remparts d’Aigues Mortes et le site classé de l’Espiguette sur la commune du Grau du Roi.

Ces entités sont représentatives des différentes identités paysagères de la Camargue gardoise : marais, roselières sur le site de la Tour Carbonnière, étangs et marais salants autour d’Aigues-Mortes, dunes, sansouires et marais saumâtres sur le site de l’Espiguette, sont autant de facettes de ce territoire.

La forte attractivité des plages et du patrimoine bâti (Cité d’Aigues-Mortes et Tour Carbonnière) contribuent à une fréquentation annuelle de plus de 2 millions de visiteurs.

LA CAMARGUE DES MAR​AIS

Sa fenêtre littorale reste relativement étroite, et marque l’amorce du littoral languedocien aménagé et urbanisé qui s’étend plus à l’ouest.
Le littoral urbanisé du GRAU-DU-ROI dessine ainsi une première unité de paysage, où l’empreinte bâtie domine. En retrait s’étend la Camargue des marais, que commande AIGUES-MORTES où s’interpénètrent les espaces cultivés et drainés et les grandes étendues de zones humides, faites d’étangs, de roselières et de prairies, qui forment l’image mythique de la Camargue.

LA CAMARG​UE CULTIVÉE

La Camargue cultivée, de St-Gilles à Beaucaire correspond à la pointe Nord du delta d qui s’achève en pointe sur le verrou Beaucaire / Tarascon. Sous l’influence de Nîmes et des grandes voies de communication (notamment l’A9), les villages viticoles de la plaine grossissent et se transforment progressivement en petites villes…

De larges vues s’ouvrent sur la Camargue depuis les hauteurs qui dominent Bellegarde (Tour Notre-Dame) où ses pentes produisent un vin blanc mousseux (Clairette de Bellegarde), classé A.O.C.,Saint-Gilles et notamment sa colline occupe une position centrale au bord de l’espace du delta du Rhône.

Bien avant les taureaux noirs, les chevaux blancs et les flamants roses, c’est d’abord la lumière, soudain plus claire et plus intense, qui vient signer l’arrivée dans la Camargue et l’approche de la Méditerranée invisible. Dans ces paysages de delta, entièrement plats, le ciel prend en effet une importance plus grande qu’ailleurs. Une eau très présente et pourtant discrète L’eau, toutefois, bien qu’omniprésente dans l’organisation de l’espace camarguais, reste excessivement discrète dans le paysage, cette discrétion ayant de quoi déconcerter le néophyte en mal d’une Camargue mythique…

Depuis la plus haute antiquité, la Camargue représente une porte ouverte sur la Gaule pour toutes les influences étrangères. Mais comme tous les deltas connus alors, il appelé par Hésiode l’une des trois bouches de l’enfer avec le Rhin et le Pô.

L’occupation de la Camargue est antérieure à celle des Romains. Les Grecs et les Ligures ont colonisé les lieux bien avant. Les Sarrasins se seraient installés au IXème siècle mais aucune trace historique ne subsisterait de leur passage. Après cette période, on atteste d’une population de 170 chefs de familles à la Villa de Mar (les Saintes Maries de la Mer), en 1286. Toutefois, le village construit en bois aurait brûlé au XIVème siècle.

C’est un espace terrestre de 145.300 ha au sud de la France, situé géographiquement entre les deux bras principaux du delta du Rhône et de la mer Méditerranée.

On peut l’étendre à l’Est jusqu’à la plaine de la Crau, à l’ouest jusqu’à Aigues-Mortes et au nord jusqu’à Beaucaire. La Camargue s’étend donc sur les départements des Bouches-du-Rhône et du Gard.

On distingue ainsi 3 parties : la Petite Camargue à l’ouest du Petit-Rhône ;  la Grande Camargue, entre les deux bras du Rhône ; le Plan du Bourg, à l’est du Grand-Rhône.

ET on distingue au final 3 unités de paysage pour la Camargue gardoise

1 – LE LITTORAL URBANISÉ

Au sud, la Camargue s’ouvre sur la Méditerranée, dans des dispositions contrastées entre son littoral naturel, formé par les dunes de l’Espiguette, et son littoral urbanisé par le Grau-du-Roi et ses extensions (Port-Camargue), qui marquent les confins est du littoral urbanisé de Languedoc-Roussillon.

COMMUNES CONCERNÉES : AIGUES-MORTES   |   LE GRAU-DU-ROI / PORT CAMARGUE

2 – LA CAMARGUE DES MARAIS

Les grandes étendues d’eau ne sont pas faciles d’accès, les marais se drapent volontiers dans un ourlet de roselières, les routes sont parfois bordées de digues et diguettes, masquant les vues, les levées de terre accompagnent également les canaux, les roubines, fossés, rigoles, incisés en creux dans les champs cultivés, restent invisibles. L’étang du Charnier et la RD 779. Les étangs du Charnier et de Scamandre, environnés de leurs roselières, constituent les ultimes témoins septentrionaux de la Camargue naturelle, avec le petit marais des Gargattes. Contrairement aux confins nord de la Camargue, entièrement occupés par les cultures entre Saint-Gilles et Beaucaire, la Camargue autour d’Aigues-Mortes mêle de vastes espaces d’étangs et de marais aux surfaces cultivées, qui lui confèrent une image plus naturelle et plus proche de la mythique Camargue sauvage.

COMMUNES CONCERNÉES : AIMARGUES   |   AIGUES-MORTES    |    BEAUVOISIN   |   FOURQUES   |    LE CAILAR   |   LE GRAU-DU-ROI   |   ST-GILLES   |   ST-LAURENT-D’AIGOUZE   |   VAUVERT 

3 – LA CAMARGUE CULTIVÉE :

Dans cette frange septentrionale de la Camargue, le paysage est devenu entièrement cultivé, sans place pour les étangs et les marais que l’on ne trouvera que plus au sud. C’est une Camargue  » agro-intensive « , bien éloignée de la mythique Camargue des chevaux, des taureaux et des grandes zones humides. Il faut dire que la proximité du Rhône et du Petit Rhône, auxquels s’ajoute le Canal d’irrigation du Bas-Rhône-Languedoc, permettent un approvisionnement facile en eau douce, nécessaire aux cultures du riz, voire du maïs. Les champs ainsi irrigués dessinent d’immenses parcelles sans obstacles, créant un paysage agro-industriel de plaine. Les mas jouent un rôle important pour animer le paysage agro-industriel né des cultures intensives, à la fois par leur architecture et par les arbres qui les accompagnent, notamment les alignements de platanes. Aux marges de Beaucaire, et jusqu’à la hauteur de Bellegarde, la vigne est encore dominante, occupant les terres grises alluviales, et piquée par endroits de vergers de fruitiers. Elle se développe sur de grands domaines, marqués par des mas isolés entourés d’arbres et par des haies éparses de cyprès.

COMMUNES CONCERNÉES :  AIGUES-MORTES    |   BEAUCAIRE    |   BELLEGARDE   |   FOURQUES   |   ST-GILLES

Après les succès des voies vertes de la Vaunage et du Sommiérois (21 km), de Sauve (1,6 km) et du « Martinet » (3 km), c’est en Camargue gardoise que le Conseil général a investi pour promouvoir la pratique du vélo familial et touristique. En 2008, une nouvelle voie verte Vauvert-Gallician, a été ouverte aux cyclistes, randonneurs, rollers et personnes à mobilité réduite. En partenariat avec la Région Languedoc Roussillon et le Syndicat mixte de la Camargue Gardoise, la nouvelle voie verte entre Vauvert et Gallician longe le canal d’irrigation Philippe Lamour sur 5 km, en application d’une convention signée avec BRL. Pour la première fois, un aménagement cyclable, réservé aux piétons, cyclistes, rollers et aux personnes à mobilité réduite, longe cette voie d’eau. C’est une piste de trois mètres de large, revêtue en enrobés, à double sens, entièrement sécurisée et interdite aux véhicules à moteur. Elle permet donc une pratique sans danger sur un parcours présentant peu de dénivelé et qui comporte très peu d’intersections avec des routes. Respectueux de l’environnement, le projet s’est attaché à la qualité paysagère en conservant les essences locales et les végétations qui ont poussé spontanément.. Pour préserver l’eau à potabiliser du canal d’irrigation, des aires de pique-nique ne peuvent pas être aménagées. Toutefois, de nombreux bancs ont été installés tout le long du parcours invitant au repos et à l’observation du paysage. Aménagée par le Conseil général elle rejoint aussi la boucle de cyclo-découverte de la Camargue gardoise, déjà existante qui offre près de 17 km complémentaires de routes « partagées » entre vélos et automobiles. Grâce à cette jonction, il est possible désormais d’effectuer à pied ou à bicyclette un itinéraire de 22 kilomètres sur les RD 352, RD 104 et RD 381. Ce sont des routes à faible trafic, situées sur les communes de Vauvert (dont le hameau de Gallician) et Le Cailar, et qui offrent une boucle de vingt deux kilomètres, entre chevaux et taureaux. Cette boucle permet de découvrir la faune et la flore camarguaises, ses étangs, le territoire des Costières, et même plus loin, le littoral, Aigues-Mortes, Le Grau-du-Roi

LES ZONES HUMIDES :

Les zones humides sont caractérisées par leur richesse et leur grande variété. Elles jouent un rôle fondamental pour la préservation de la diversité biologique, la régulation du régime des eaux et le maintien de leur qualité. Lieux de grande productivité, elles abritent de nombreuses espèces de plantes et d’animaux patrimoniaux (vertébrés et invertébrés). Depuis de nombreuses décennies, les zones humides régressent. Pour lutter contre cette régression, un plan gouvernemental d’action pour les zones humides a été adopté en mars 1995, afin d’assurer la reconquête des zones humides françaises.
Les ensembles identifiés :

  • Grand ensemble « Réseau hydrographique du Vistre et du Rhony »

Zones humides dans le Gard

DES PRODUITS DU TERROIR CLASSÉS EN A.O.C

Début mars, c’est en Camargue que sont délicatement cueillies à la main les premières asperges blanches. Le ramasseur doit tout d’abord repérer le bourgeon qui affleure à la surface du sol avant de dénicher l’asperge. Délicatement, il va enfoncer sa « gouge », tige de métal incurvée et terminée par un cercle à peine plus large que le calibre de l’asperge, dans le sol jusqu’à la base de la jeune pousse. Dès mi-mars, le reste du département, basse vallée du Rhône et Uzège en tête, est à son tour en production, pour atteindre son rendement optimum début avril. La qualité des différents terroirs et la douceur du climat se conjuguent pour donner des asperges droites, blanches et parfumées très prisées des grands chefs, mais aussi des asperges vertes très appréciées des connaisseurs !. À signaler que le Gard est depuis plusieurs années le premier producteur national.

Le Riz de Camargue : le riz est semé, sous une fine lame d’eau, à partir du 20 avril. Il pointe hors de l’eau au bout de trois semaines à un mois. La rizière forme alors un tapis vert tendre. La formation des épis intervient en juillet et la moisson peut commencer fin septembre, jusqu’en novembre. Elle donne une grande diversité de produits : riz ronds, riz longs, riz rouges et riz parfumés tous de qualité reconnue officiellement par l’obtention d’une IGP (Indication Géographique Protégée). La Camargue produit actuellement l’équivalent du tiers de la consommation française. En raison de l’endiguement du Rhône, la culture du riz est devenue indispensable à l’écologie camarguaise. En effet, la submersion des rizières est l’unique moyen pour compenser l’eau douce qui provenait jadis des crues du Rhône. Cette eau douce est indispensable pour éviter les remontées de sels, qui rendraient la Camargue définitivement infertile à toutes cultures agricoles. La culture participe également à l’image traditionnelle de la Camargue, au même titre que les taureaux et les chevaux.

L’exploitation du sel remonte au Moyen Age. Région historique de production du sel, la Camargue bénéficie de conditions climatiques très favorables à l’évaporation rapide de l’eau de mer : l’ensoleillement y est quasi permanent et les vents Mistral et Tramontane aident le soleil à accommoder sa tâche. De plus la végétation et la faune des grandes étendues de Camargue constituent un cadre naturel idéal pour assurer la meilleure qualité possible au sel. « C’est ainsi plus de 5000 hectares d’anciennes lagunes près d’Aigues-Mortes qui ont été transformés en bassins endigués de faible profondeur (50 cm). L’eau de mer y est envoyée par pompage. Avec l’évaporation, la concentration de sel augmente dix fois. L’eau devient rouge sous l’effet d’une algue qui y prolifère. Cette algue est consommée par un petit crustacé (Artemia salina). La couleur rouge est alors transmise aux flamants roses qui s’en nourrissent. Après évaporation complète dans les bassins, les tables saunantes, le sel est ramassé et mis en andins géants appelés camelles.

Actuellement, la viande de taureau est reconnue comme une viande d’une excellente qualité, la première en 2000 à obtenir une Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) pour la viande à la condition que l’élevage s’effectue en semi-liberté sur une étendue d’un hectare et demi par taureau. Actuellement près de 500 tonnes de viande sont produites par an, en boucherie mais aussi en charcuterie (saucisson, jambon, terrine,…).

LIEUX DE PÊCHE DANS LE GARD – CARTE

MILIEUX AQUATIQUES DE PREMIÈRE CATÉGORIE PISCICOLE (Peuplement piscicole comportant des salmonidés)

Le Chassezac, la Cèze et l’Homol, en amont de la queue de la retenue de Sénéchas;
Le Luech.
La Gagnière, avant son entrée dans le département de l’Ardèche, et le ruisseau des Thomasses ou Abeau.
La Vionne, la Tave, en amont du pont de la ligne de chemin de fer de Roquemaure à Bagnols sur Cèze.
Le Gardon d’Alès et le ruisseau d’Andorge, en amont de leur confluent.
Le Galeizon et le ruisseau de Salandre, en amont de leur confluent;
Le Gardon de Mialet, en amont du Pont des Abarines (chemin départemental 50).
Le Gardon de Saint Jean en amont du barrage de la Brasserie (face à l’intersection du chemin départemental 907 et du chemin départemental 260).
le Brion et le Boisseson, en amont du pont de la voie ferrée d’Anduze à Saint Jean du Gard.
La Salendrinque, en amont du pont de fer de Lasalle.
La Dourbie, le Trévezel et le lac des Pises.
L’Hérault et l’Arre, en amont de leur confluence.;
La Vis, en amont de sa confluence avec l’Hérault.
Le Rieutord et l’Elbes en amont de leur confluence.
Le Vidourle, en amont du pont submersible de Mandiargues.
L’Aiguèze et le Moze (affluents de la basse Ardèche.
ainsi que les affluents et sous-affluents des cours d’eau ou portions de cours d’eau désignés ci-dessus.

icones pêche  LES COURS D’EAU DANS LE GARD  Fédération du Gard pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique 34, rue Gustave Eiffel – ZAC de Grézan – 30034 NIMES Cedex 1
MILIEUX AQUATIQUES DE SECONDE CATÉGORIE PISCICOLE
(Peuplement piscicole comportant des cyprinidés et des carnassiers)

•  Tous les cours d’eau, plans d’eau et canaux non classés en 1ère catégorie piscicole.

DOMAINE PUBLIC FLUVIAL (2nde catégorie) le Rhône, le Petit Rhône et leurs dépendances (lônes, bras morts).

  • l’Ardèche, en aval de Pont d’Arc, le Lauzon, lot n°1.
  • la Cèze en aval de la Combe de Carmignan.
  • Le Gardon, en aval de l’ancien bac de Comps.
  • Le canal du Rhône à Sète et le bras de l’écluse de Saint Gilles.

DOMAINE MARITIME. Les canaux et portions de cours d’eau ci-dessous sont soumis à la réglementation maritime :

  • Le Vidourle, en aval du seuil de Terre de Port (commune de Saint Laurent d’Aigouze).

Sources et remerciements : Direction régionale de l’environnement du Languedoc-Roussillon ( Fondements, Organisation Unités de paysage ) – Agence FOLLEA – GAUTIER ( Illustrations photographiques) – Le Quid – Larousse ( Généralités historiques) – Direction des Affaires Sanitaires et Sociales Départementales du Gard ( Etude le la qualité de l’eau) – Le Parc des Cévennes – Ministère de l’Ecologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire Languedoc-roussillon. (Description des Znieff) – Conseil Général du GARD – Nîmes Métropole.

icones pêche QUALITÉ DE L’EAU DE BAIGNADE 2022 Classement selon la directive 2006/7/CE

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