Lussan, parmi Les Plus Beaux Villages de France


Concluses de LUSSAN. Gard Première parution, le 28/01/2021
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Les mots-clés pour vous aider...

LUSSAN. Village perché, Maisons anciennes et abords (SI). A connu la prospérité grâce à la  sériciculture : ( Filatures de soie Chastanier, Gardes, Roux).

Sur ses flancs ouest, le plateau de Lussan est dominé par des reliefs isolés, visibles de très loin.

Il s’agit en particulier d’un ensemble de serres dont le serre de Fons (474 m), aux reliefs couronnés de falaises, et surtout du mont Bouquet, qui culmine au Guidon du Bouquet à 629 m d’altitude.

À travers la garrigue, des sentiers balisés conduisent aux Concluses, gorges profondes de l’Aiguillon où s’engouffrent des eaux éphémères.
De là, il est possible de rejoindre la «Pierre Plantée», remarquable menhir d’une hauteur de 5,60m.
Aujourd’hui la commune de Lussan d’une étendue de 4700 hectares, a su s’adapter harmonieusement au temps présent, en développant une agriculture variée, des activités artisanales (fabrication  ’arts céramiques…) et un tourisme de qualité. Lussan travaille avec le Département pour la mise en place du label «Village de caractère». Un label largement mérité par ce site remarquable ancré dans un environnement exceptionnel

Depuis le samedi 24 septembre 2016, «Les Plus Beaux Villages de France» sont désormais au nombre de 155 après le classement de la commune de Lussan (Gard) par la Commission Qualité de l’association nationale.  Comme en témoignent son château du XVe, qui abrite l’actuelle mairie, les vestiges de ses remparts, ses ruelles étroites aux maisons resserrées, ainsi qu’un second château en contrebas (XVIe S), Lussan a conservé sa structure médiévale mais présente également quelques témoins d’une histoire bien plus ancienne : le menhir de la «Pierre Plantée», l’un des plus hauts du Languedoc (5,60m), et les impressionnantes gorges des Concluses, creusées par l’Aiguillon, affluent de la Cèze… Un patrimoine préhistorique et géologique qui ajoute à l’attractivité du village. En prenant de la hauteur, on peut admirer la silhouette quasi circulaire et magnifiquement homogène qui a contribué à séduire de manière unanime les membres de la Commission Qualité des Plus Beaux Villages de France. Lussan devient ainsi la quatrième commune du département du Gard à obtenir cette distinction après Aiguèze (2005), La Roque-sur-Cèze (2007) et Montclus (2012).

À VOIR, À VISITER, À FAIRE… FICHIER Pdf

LUSSAN. Menhir pierre plantéeAncien oppidum, devenu village fortifié.

Vestiges préhistoriques :  Oppidum néolithique de Saint-Martin. Grottes Saint-Martin et des Tinos (« tinno » , cuves, marmites de géant, en patois languedocien) : mobilier de la « culture de  Fontbouisse « 

Menhir de la Pierre Plantée (MH), du Chalcolithique, un des plus grands du Midi de la France (5,60 m), au lieu-dit Bois du Vallat-de-Nerderie.

Vieille fontaine, dite la Fontasse.

La Lèque : occupation celtique (Une statue en bas relief (actuellement dans le hall du château de la mairie) sculptée par un artiste Gallo-romain au IIIe siècle fut retrouvée à la source de Fan (fanum = temple gallo-romain).

Restes d’enceinte médiévale.

Château du XVe siècle (IMH) (faisant office aujourd’hui de mairie), des vestiges de l’ancien (XIIe siècle) au Verger, ainsi que celui de Fan (XVIe siècle) situé en bas du village et ayant appartenu à la famille d’André Gide jusqu’en 1920 (MH); gypseries Louis XIV.

Mentionné en 1210, Le château appartint aux d’Audibert, comtes de Lussan, famille puissante sous Louis XIV.L’héritière, Gabrielle de Lussan, épousa le duc d’Albemarle, fils naturel du roi d’Angleterre, puis le duc de Melfort, émigré anglais dont les descendants conservèrent le château jusqu’à la Révolution.  Classé au titre des Monuments Historiques : édifice à trois nefs irrégulières de style gothique primitif, avec un chevet de plan carré. Les voûtes reposent sur des culs de lampes décorés d’animaux et d’anges.

Temple du XIXe siècle, situé dans la zone d’un site inscrit, avec un jardin aménagé de plantes bibliques et médicinales. En 1818, le maire est autorisé à acquérir une maison pour y bâtir un temple et le logement du pasteur. En 1819, le projet dressé par Jacques Rouvière géomètre architecte d’Uzès est adopté par le conseil des bâtiments civils avec des modifications à faire. Rouvière Jacques (architecte)

Hameau de Le Roux (SI).

Les céramiques de Lussan dont l’emblème est une pintade bien rondelette. Le jardin des Buis pour découvrir la taille japonaise sur des essences méditerranéennes. Le chemin de ronde des anciens remparts de Lussan offre de tous les côtés des panoramas exceptionnels. La porte des Pauses, devrait son nom à la pause exercée après une montée plutôt raide ou parce qu’on ne l’ouvrait qu’en temps de paix. La fontasse du XIXe s. pompait l’eau dans une citerne au pied de la falaise grâce à son système à balancier. Les filatures Roux et Chastanier du XIXe s. témoignent de ce qui fit longtemps la richesse de Lussan, l’industrie de la soie

LES CONCLUSES :

Du haut d’un belvédère, la vue plonge sur le défilé creusé de marmites de géants. En descendant le long de la gorge, on rencontre plusieurs cavités sur les parois. La plus importante est la Baume du Biou ou grotte du boeuf.
Au cours de la descente vers le lit du torrent, un escarpement rocheux s’ouvre sur un plan boisé entouré de magnifiques rochers. Tout au fond, après être passé sous le «portail», goulet par où passe l’eau lors des fortes pluies, on découvre un extraordinaire lieu.
L’Aiguillon, petit ruisseau à sec l’été, mais fougueux et impétueux en période de fortes pluies… Il est d’ailleurs recommander de ne s’y aventurer qu’en été et jamais seul…

UN ENVIRONEMENT  EXECPTIONNEL

ZNIEFFZone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : PLATEAU DE LUSSAN ET MASSIFS BOISÉS : Superficie 37 000 ha. Le mont Bouquet et le Castellas sont inscrits à l’inventaire des sites (arrêté du 26/03/1969) ainsi que les LES CONCLUSES ET RAVIN DE MERDERIS.  La plaine de Barjac/Saint-Ambroix vue depuis la RD 979 qui descend du plateau de Lussan. On aperçoit les horizons bleutés des Cévennes qui bordent la plaine. Au contact de la plaine : le moutonnement sombre de la montagne d’Uzège à gauche et celui de la montagne de la Serre, à droite. Entre les deux l’entaille de la Claysse, où se positionne Saint-Sauveur-de-Cruzières (Ardèche). Au sud-est, se trouve l’aérodrome d’Uzès qui comprend une piste d’aviation en service, des chemins d’accès, et trois bâtiments. Des lignes EDF à haute tension traversent ce plateau.  Enfin, ce site est utilisé pour l’escalade, la spéléologie, le parapente et la pratique des véhicules tout terrain.  Ce vaste plateau calcaire s’étend depuis les gorges de la Cèze au nord jusqu’à la plaine d’Uzès au sud. Il présente de nombreux plis parallèles orientés suivant un axe est-ouest d’où seul émerge le MONT BOUQUET , bordé de belles corniches et de hautes falaises qui culmine à 629 mètres. Le trait caractéristique de ce plateau est l’omniprésence de nombreuses vallées sèches, la pauvreté du réseau hydrographique et l’abondance des lapiés, avens et résurgences. Notons aussi la présence de deux poljés dont le plus vaste, celui de Camellié, peut être inondé temporairement. La végétation est dominée par des garrigues boisées à Chêne vert et Chêne blanc. Localement, (Rochegude, mont Redon) on rencontre le Pin d’Alep et le Pin maritime . Les combes escarpées (les Concluses, ravin de Merderis, combe Labaume) portent une végétation basse à Genévrier et Buis. La délimitation du site est claire. Les limites retenues englobent l’ensemble de cette vaste « unité écologique » boisée, délimitée par les grandes plaines agricoles et par les secteurs artificialisés (habitats,…). Quelques parcelles cultivées forment une enclave près de Méjannes-le-Clap.  La limite nord correspond au gorges de la Cèze ; ailleurs elle longe la bordure du massif. Richesse patrimoniale : 1 – Floristique : Ce milieu accueille une flore caractéristique des milieux rupestres calcaires parmi laquelle on remarque plusieurs espèces rares au niveau régional et départemental : Asplenium fontanum : 1 station répertoriée dans le département – Asplenium petrarchae : 2 stations répertoriées dans le Gard – Cheilanthes fragrans et Delphinium fissum : 3 stations répertoriées dans le département – Hormatophylla macrocarpa : espèce protégée au niveau national, 4 stations dans le Gard – Hesperis laciniata : 7 stations répertoriées dans le département – Paeonia officinalis et Tulipa sylvestris : espèces protégées sur un plan national – Iberis saxatilis : 5 stations répertoriées dans le Gard. 2 – Faunistique : En ce qui concerne l’avifaune, ce site recèle de nombreuses espèces remarquables :  – le Percnoptère d’Egypte : un couple. Espèce en forte régression dans toute l’Europe depuis le début du XX ème siècle – l’Aigle de Bonelli : population estimée à une trentaine de couples sur le plan national le Hibou grand-duc : deux couples – le Faucon crécerellette : cette espèce a quasiment disparu de France. Elle est observée sur le site de façon irrégulière – l’Outarde canepetière : en nette régression en France par suite de la disparition des steppes herbeuses – l’Alouette calandrelle – le Busard cendré. le Rollier d’Europe. – le Bruant ortolan : espèce en forte régression depuis les années 50. – le Torcol fourmilier – le Hibou petit-duc – le Grand Corbeau – Le Guêpier. Chez les chiroptères, de nombreuses espèces menacées fréquentent les cavités, et notamment la grotte des Trois Ours : Rhinolophe euryale – Pipistrelle de Savii. Cette zone est remarquable aux points de vue géomorphologique, paysager et écologique. Le territoire comprend de nombreuses falaises qui forment localement de véritables murailles verticales, des concrétions calcaires aux formes originales, des grottes et des oppidums. Le site abrite de nombreuses plantes rares dont certaines se trouvent en limite nord et ouest de leur aire de répartition ; des rapaces qui possèdent là un de leur rares sites de reproduction dans le département ainsi qu’une espèce de chauve-souris très menacée. Près d’une quarantaine d’espèces d’oiseaux ont été recensées. L’existence de points d’eau permanents sur des sites localisés, au sein d’un espace très sec, confère à ce lieu une richesse particulière pour toute la faune sauvage. Bibliographie – Source BOUSQUET G. – C.O.GARD – Communications orales G.R.I.V.E., Fédération Départementale des chasseurs du Gard, Société de Protection de la Nature d’Alès et des Cévennes- Dossier de demande d’arrêté de biotope sur les communes de Goudargues et Lussan (Gard). Protection de site de reproduction d’Aigle de Bonelli (Hieraaetus fasciatus). JEANTET- Museum d’Histoire Naturelle de Nîmes – Communication orale. LAGARDE F. – Communication orale. MEJEAN G. – Botaniste – Communication orale. PIET L. – Les milieux rupestres en zone calcaire dans le département du Gard : la région d’Alès. Définition de zones, hiérarchisation, actions de protection. Rapport de stage , 41p + annexes ; Fédération de Associations Cévenoles Environnement Nature (FACEN) Maîtrise d’ouvrage : Ministère de l’Environnement Maîtrise d’ouvrage déléguée nationale : Secrétariat de la Faune et de la Flore du Muséum National d’Histoire Naturelle Maîtrise d’ouvrage déléguée régionale : Direction Régionale de l’Environnement Languedoc-Roussillon (DIREN) Maîtrise d’oeuvre : Institut des Aménagements Régionaux et de l’Environnement (IARE montpellier)

ZNIEFFZone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : PLAINE DE LUSSAN  De nombreux chemins parcourent cette plaine partiellement cultivée. Cette plaine agricole est située au nord du village de Lussan. La végétation y est constituée d’une mosaïque de milieux ouverts ou semi-ouverts : cultures, vignes, prairies, friches, landes et garrigues basses. Au coeur de cet espace serpente l’Aiguillon, petit cours d’eau temporaire bordé d’une ripisylve discontinue. L’ensemble forme un paysage agricole traditionnel. La délimitation du site repose sur des critères liés à la géomorphologie et aux activités humaines. La limite retenue englobe l’ensemble de la plaine cultivée au nord de Lussan qui est entourée par plusieurs reliefs. Elle s’appuie le plus souvent sur des routes (D979 à l’ouest, D143 au sud-est, D787 au nord…) et contourne les lieux habités importants (le village de Lussan, Malataverne, Mas Chazel…). Richesse patrimoniale : Ce milieu accueille des espèces rares caractéristiques des milieux ouverts, protégées en France et dans la Communauté Européenne et inscrites sur le livre rouge des espèces menacées de France : l’Outarde canepetière : en nette régression en France par suite de la disparition des steppes herbeuses – le Rollier d’Europe – le Guêpier : une espèce protégée seulement sur le plan national – le Bruant ortolan : espèce inscrite sur le livre rouge et protégée au niveau européen, en forte régression. Outre la présence d’oiseaux rares et protégés, cette zone est d’un grand intérêt écologique. Ces biotopes sont favorables à la nidification de nombreuses espèces des milieux ouverts. La régression générale de ces milieux en France entraîne la raréfaction de ces espèces. Les friches et les landes dont le couvert végétal est en voie de fermeture, abritent une flore et une faune abondantes. Bibliographie – Source BOUSQUET G. – C.O.GARD – Communication orale. Maîtrise d’ouvrage : Ministère de l’Environnement Maîtrise d’ouvrage déléguée nationale : Secrétariat de la Faune et de la Flore du Muséum National d’Histoire Naturelle Maîtrise d’ouvrage déléguée régionale : Direction Régionale de l’Environnement Languedoc-Roussillon (DIREN) Maîtrise d’oeuvre : Institut des Aménagements Régionaux et de l’Environnement (IARE montpellier)

ZNIEFFZones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : PLAINE DE CAMELLIE  Cette plaine partiellement cultivée est parcourue par de nombreux chemins. La D979 la traverse au sud-est. Des bâtiments sont implantés dans le sud, au « Petit Devès ». Cette petite plaine est située entre Méjannes-le-Clap au nord et Lussan au sud. La végétation est constituée d’une mosaïque de milieux ouverts ou semi-ouverts : cultures, vignes, prairies, friches, landes et garrigues. Quelques taillis de chênes pubescents se développent sur « le grand Devès ». Cet espace est en voie de fermeture en raison du déclin de l’activité agricole. Au coeur de la plaine se trouve un aven. La délimitation du site n’est pas toujours très nette. Elle repose sur des critères liés à la végétation et aux activités humaines. La limite retenue englobe l’ensemble de la plaine comprenant les milieux les plus ouverts. Elle coïncide quelquefois avec des chemins (au nord) et contourne les habitations (la Lèque, les Granges, le mas Cambarnier,…). Elle longe le plus souvent une garrigue boisée à Chêne pubescent et à Chêne vert; Richesse patrimoniale : Elles sont d’ordre floristique et faunistique. Ce milieu accueille le Rollier : oiseau rare, protégé en France et dans la Communauté Européenne et inscrit sur le livre rouge des espèces menacées de France. La présence de vieux arbres est indispensable à la reproduction de cette espèce. La flore comprend des espèces messicoles et de milieux ouverts, peu courantes dans le département :  Centaurea cyanus (6 stations dans le département) – Bupleurum rotundifolium… Ces informations datent de quelques années ; il conviendrait de confirmer la présence de ces espèces et de compléter ces données. Outre la présence d’espèces peu communes, cette zone offre un intérêt écologique. La diversité des milieux rencontrés : friches, prairies, landes, cultures, haies explique la richesse potentielle du territoire. Une telle mosaïque de milieux est de plus en plus rare sur le territoire national. Les friches et les landes, dont le couvert végétal est en voie de fermeture, abritent une faune et une flore abondantes. Bibliographie – Source ANDRE I. – Botaniste – Communication orale. Maîtrise d’ouvrage : Ministère de l’Environnement Maîtrise d’ouvrage déléguée nationale : Secrétariat de la Faune et de la Flore du Muséum National d’Histoire Naturelle Maîtrise d’ouvrage déléguée régionale : Direction Régionale de l’Environnement Languedoc-Roussillon (DIREN) Maîtrise d’oeuvre : Institut des Aménagements Régionaux et de l’Environnement (IARE montpellier)

ZNIEFFZone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : BOIS DE RUPH : Superficie 471 ha. Cette garrigue haute est sillonnée par de nombreux chemins. Quelques petites coupes de bois ont été effectuées ponctuellement. Ce massif boisé calcaire est situé au sud-est de MÉJANNES-LE-CLAP. Il est composée d’un joli taillis de chênes verts et de chênes pubescents. Cette dernière espèce domine au nord du périmètre retenu. On distingue deux avens au nord-est et un dolmen au coeur du site. La délimitation du site n’est pas toujours très nette ; elle repose sur des critères liés à la végétation, à la géomorphologie et aux activités humaines. La limite retenue englobe le bois de Ruph, le bois de Cambarnier et le lieu-dit du Quarton jusqu’en amont de la Lèque : au nord : elle coïncide avec un chemin et évite le mas de Ruph – à l’est : elle suit un vallon – au sud : elle évite des coupes de bois à l’est, puis suit le bord du plateau boisé – à l’ouest : elle borde la plaine de Camellié en incluant les principaux boisements. Richesse patrimoniale : d’ordre floristique. Le site abrite une plante rare, partiellement protégée et inscrite sur le livre rouge de la flore menacée de France métropolitaine : Paeonia officinalis et des plantes peu communes dans la région méditerranéenne : Phlomis lychnitis – Phlomis herba -venti – Ranunculus gramineus  Outre la présence de plantes rares, cette zone offre un intérêt écologique. Ce massif forestier dense et peu artificialisé est favorable à la nidification de plusieurs espèces des garrigues boisées méditerranéennes. De nombreuses orchidées s’y développent. Bibliographie – Source ANDRE I. – Botaniste

ZNIEFFZones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Znieff) : GORGES DE LA CÈZE : Superficie 1114 Ha. Cette garrigue haute est sillonnée par de nombreux chemins. Quelques petites coupes de bois ont été effectuées ponctuellement.

VOIR THARAUX ET/OU MONTCLUS

Fait partie de la COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU GRAND LUSSAN :

La Bastide-d’Engras  |   Fons-sur-Lussan  |   St-Laurent-la-Vernède  |   Lussan   |  La Bruguière   |  Fontarèches  |   Belvezet  |   Pougnadoresse  |   Vallérargues

COMMUNES CONCERNÉES PAR CES UNITÉS DE PAYSAGE :

Aigaliers Allegre Bouquet Brouzet-lès-Alès Fons-sur-Lussan Fontarèches Goudargues Issirac La Bruguière  Méjannes-le-Clap Montclus Navacelles Rivières Rochegude St-André-de-Roquepertuis St-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan St-Just-et-Vacquières St-Privat-de-Champclos Seynes Tharaux Vallérargues Verfeuil

Bagnols-sur-Cèze Cavillargues Fontarèches Goudargues La Roque-sur-Cèze Sabran Saint-André-de-Roquepertuis St-André-d’Olérargues St-Laurent-la-Vernède St-Marcel-de-Careiret St-Pons-la-Calm Tresques Verfeuil

444 habitants

MAIRIE : place du château 30580 LUSSAN –  Tél : 04 66 72 90 58

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Lussan

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Lussan 44.153789, 4.366745

http://www.mairie-lussan.fr/

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